Rêve. Le rêve chuchote au cœur. L'air ambiant est tiède. On se demande, à le sentir, s'il ne s'est pas échappé d'un autre monde. Soudain, un chemin surgit, on gravit alors les cailloux et la Sainte-Victoire se livre, se donne.
Ici l'herbe frôle le soulier. Des genêts écorchent malicieusement le bras dénudé. Parfois quelques touffes de lavande nous interpellent. Pourtant, une certitude, ici, les couleurs sont de sortie. À nouveau. Libres. Ensuite le temps s'étire. Du sommet, une palette s'offre à la paupière médusée. Colza, coquelicots, cyprès, graminées de toutes sortes. Je ne rêve pas. Nous sommes en juin. Sur la Sainte-Victoire.
Nonchalance. Débordement de joie.
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que j'aime ce pays d'aix !
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Ici l'herbe frôle le soulier. Des genêts écorchent malicieusement le bras dénudé. Parfois quelques touffes de lavande nous interpellent. Pourtant, une certitude, ici, les couleurs sont de sortie. À nouveau. Libres. Ensuite le temps s'étire. Du sommet, une palette s'offre à la paupière médusée. Colza, coquelicots, cyprès, graminées de toutes sortes. Je ne rêve pas. Nous sommes en juin. Sur la Sainte-Victoire.
Nonchalance. Débordement de joie.
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que j'aime ce pays d'aix !
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1 commentaire:
Je vous ai rencontré chez Agathe et la suite que je trouve ici vaut bien le détour. Merci beaucoup de cet enchantement. Amicalement. Raphaël
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